Il attend patiemment. Son regard déjà voit
Le sourire indulgent et le son de sa voix.
Il attend, il savoure à l'avance, il espère
L'arrivée de l'amour et de ses beaux yeux clairs
Le soir éteint le jour. Et bien sûr il s'inquiète:
Souhaitera-t-il bonjour à cette jolie tête?
Le doute un peu l'étreint mais il garde l'espoir:
Quand il y a tant de trains, peut-on rester en gare?
La nuit déjà s'avance. Et il attend encore.
Mais son esprit balance, et pour ses désaccords,
S'oublie dans l'étude de l'éclairage urbain.
Car la solitude, ce n'est rien que quelqu'un,
Au coin du bâtiment, où le pavé résonne,
Qui attend. Qui attend. Et qui n'attend personne.
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